2017 se termine avec les bons moments et les mauvais souvenirs. Comme d’habitude, nous espérons que l’année qui montre le bout de son nez sera meilleure.
Certes, nous ne sommes pas maîtres de tous les aléas qui peuvent nous arriver. C’est toutefois à nous de voir le verre à moitié plein ou à moitié vide. En la matière, j’espère bien que 2018 sera une belle année pour le vignoble de l’Anjou. Nos vignerons ont malheureusement des soucis avec Dame Nature depuis quelques années. Entre le gel, la grêle, la sécheresse, rien ne leur a été épargné. Peut-être l’invasion de sauterelles ! Les millésimes se suivent et ne se ressemblent pas. Parions sur 2018 pour en être un fameux !
Et puis, en 2018, question gastronomie angevine, je mettrai à l’honneur la Gouline. En ce mois de décembre, elle est devenue le plat emblématique de l’Anjou. Alors certes, une spécialité ne se décrète pas. Si nous nous l’approprions et lui faisons une place sur nos tables, parions que la Gouline marquera les papilles d’ici et d’ailleurs.
On a fait notre première Gouline, le plat angevin de l’année
Je n’oublie pas ma recette de fricassée de poulet au Layon dont une version est arrivée troisième du concours sur les 75 recettes présentées. J’habite au cœur du vignoble des Coteaux du Layon. Cette recette est symbolique de mon territoire. C’est ma spécialité locale ! Je vous dévoilerai la recette bientôt.
Je vous souhaite une merveilleuse année 2018 pleine de découvertes viticoles et gastronomiques, de grands et de petits bonheurs, entre amis et en famille. N’hésitez pas à vous laisser surprendre, à sortir des sentiers battus ! L’Anjou est la région rêvée. Elle arrive d’ailleurs en tête de celles où il fait bon vivre. Nous qui avons la chance d’y habiter, nous le savons bien. Venez nous rendre visite ! Laissez vous gagner par la douceur angevine ! Je suis sûre que vous n’aurez qu’une envie : revenir en Anjou ! Et, pour nous, ses habitants, y rester !